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Je ne fais ce Blog que pour vous faire decouvrir les tresors du Judaisme
Aussi malgre le soin que j'apporte pour mettre le nom de l'auteur et la reference des illustrations sur tous ces textes , il se pourrait que ce soit insuffisant
Je prie donc les auteurs de me le faire savoir et le cas echeant j'enleverais immediatement tous leurs textes
Mon but etant de les faire connaitre uniquement pour la gloire de leurs Auteurs

Avoda Zara


                                                     Avoda Zara    yutorah




Le commandement de l'iconoclasme dans le judaïsme, 
la question de l'idolatrie, et le respect de la foi d'autrui


Yona Dureau

Chapitres :

I. La question de l'icône et de l'idolatrie
II. L'idolâtrie
III. Iconoclasme et tolérance


La question de l'iconoclasme m'a toujours intriguée parce qu'elle semblait en contradiction fondamentale avec un autre principe fondateur du judaïsme, c'est-à-dire le respect de la foi d'autrui. Comment concilier un commandement traditionnel indiquant qu'il faut respecter la foi d'autrui, qu'il est interdit de faire tout acte ou de déclarer toute parole pouvant pousser au doute, puis au nihilisme, voire au désespoir, et d'autre part, commander un ordre « Tu ne feras pas d'image », instruire par maints épisodes des midrashes qu'il faut détruire les idoles ?
Pour comprendre ces contradictions apparentes, je me suis penchée sur la nomenclature utilisée pour les icones, pour l'idolatrie, et enfin sur les commentaires divers traitant de l'idolatrie.



I. La question de l'icône et de l'idolatrie

La question de l'icône est au centre des dix commandements, puisque le terme utilisé pour les dix commandements est « tmouna ».
Les sources : les interdits concernant les icônes et idoles apparaissent essentiellement dans le livre de Dvarim (le Déteronome) et dans le livre de Shemot (Les Nombres) et dans le livre de Vayikra (Lévitique).
ShemotKav, beth : « Lo iyé lehra élohim aréhrim al panai. » « daleth : lo taassé leha pesel, vékol tmouna asher béshamaïm mimahal véasher ba'aretz mitahrat véasher bamaïm mitahrat la'aretz. » « hé : lo tishtahravou lahem vélo taavdem ki anohri Adonaï elohéhra el kéna poked aven Avot al-Banim el-shloshim véal-ribéim leshinaï. »
Tu n'auras pas d'autre D. devant ma face. Tu ne feras pas de statue, ni aucune image qui est aux cieux au dessus et qui est sur terre sous les cieux, et dans l'eau qui est dessous. »
DevarimDaleth, mem noun : Vénishmartem méod lénifshtihrem ki lo raïtem kol tmouna béyom diber Adonaï aleihrem béhrorev mitohr haesh »
Et vous prendrez grand soin de vos âmes, car vous n'avez vu aucune image le jour où Adonaï vous a parlé du cur du feu. »
mem zain : » Pen tishtaroun véassitem lahrem pesel tmounat kol sémel tavnit zarar o nékéva.»
Prenez garde à ne pas vous faire de statue, image de tout signe, moule/modèle masculin ou féminin.
Youd zaïn : « tavnit kol béémah asher ba'aretz tavnit kol tsipor kanaf asher tahouf béshamaïm »
« un moule/modèle de toute bête qui est sur terre, un moule/modèle de tout oiseau qui vole dans les cieux. »
Youd hreth : « tavnit kol romesh béadamah tavnit kol dagua asher bémaïm mitahat la'aretz. »
« un moule/modèle de tout être sur la terre, un moule/modèle de tout poisson dans les eaux sous la terre. »

Dvarim, hé, hé : « la taassé léhra pésel kol tmouna asher béshamaïm mimaal véasher ba'aretz mitahrat la'aretz »
Tu ne te feras pas de statue ni d'image de ce qui est aux cieux au-dessus, et de qui est sur terre dessous la terre.
Véyikra Kav Vav, alef : « lo taassou lahrem elilim oupésel oumetsva lo-takimou lahrem véeven méshrit lo titnou béartséhrem léhishtahravot aliyah ki ani adonai eloheihrem. »
« Vous ne vous ferez pas d'idoles ou de statues ou de pierre dressée vous n'élèverez pas ou de pierre consacrée vous ne mettrez pas sur votre terre pour vous posterner devant elle car je suis Adonaï votre D. »


Les formes d'icones sont donc les statues, les images, et ces icones représentent des formes existant sous les cieux ou dans les cieux, ou sur terre. Les mots qui désignent l'image sont aussi importants. Ainsi, l'image, tmouna, est un mot formée sur la même racine que matim, léatim, la ressemblance, la concordance. L'autre terme est « tsélem », la forme mais aussi l'ombre. Ainsi la reproduction de la forme qui caractérise l'idole est une représentation à l'identique, une tentative de copie de la création, qui détourne ainsi l'authenticité du monde créé de son créateur.Le mot statue « pésel » est formé sur la racine mise en forme, et suggère ainsi que le sculpteur reproduit quelque chose par une action similaire à celle du créateur formant Adam avec de la glaise.

On le voit dans les phrases exposant l'interdiction de l'image, le comportement implicite de l'acte de fabrication de l'idole vient de l'intention présente dans son façonnement. Cette intention consiste donc soit à vouloir déplacer la création et ainsi à nier l'uvre du créateur, ou bien à placer par un double d'une partie de la création entre l'homme et la divinité, en copiant ainsi un élément du ciel ou de la terre.
Cet acte de fabrication de l'idole assimile donc l'objet fabriqué à l'essence même de l'idolatrie. En convenat de ne pas fabriquer ces idoles, mais aussi de la détruire, c'est l'idolatrie qui est visée, puisque l'idole n'est que l'épitome du phénomène.

Ainsi l'idole se confond avec l'idolâtre.
L'idolâtre est « celui qui voue un culte aux statues/aux étoiles/ » ou plus simplement encore, un culte dit « étranger ».



II. L'idolâtrie

1. Les sources talmudiques et bibliques sur une première expression de l'idolatrie, l' « avoda zara »
La question de l'avoda zara est une question occupant tout un traité du talmud. L'avoda zara, traduit communément par « idolatrie » concerne tout « service étranger », littéralement, ce qui ne signifie pas service divin effectué par des étrangers, mais service étranger aux commandements propres au service divin, c'est-à-dire aux prescriptions données avec la Torah à Moïse et Aharon sur ce qu'il est licite de faire pour exprimer la spiritualité envers le divin. Dans cette optique, le texte de la Torah elle-même est sans appel. Lorsque Abraham réalise que son père trompe le peuple et l'entraîne à l'idolatrie, il casse toutes les idoles, et cet acte est présenté comme un acte d'héroïsme par le midrash. Dans le texte biblique lui-même, la ville de Sodome et la ville de Gomohre sont détruites, parce qu'elles seraient les hauts lieux de l'avodah zara. Pourtant aucun élément n'est fourni pour évoquer des idoles, ou des statues. Par contre, le texte montre que les habitants ont des coutumes barbares, menaçant de mort toute personne qui ne serait pas livrée à la luxure des habitants, et le midrash précise que toute personne ne correspond pas à la taille modèle se voyait écartelée, ou ses jambes coupées pour correspondre au modèle de cette société. Le modèle humain a ainsi remplacé le modèle de la loi divine, et les conséquences sont désastreuses, barbares. Il faut insister sur cette dimension, dans la mesure où la loi juive distinguera entre « culte étranger » au sens commun du terme, et culte soutenant un projet de société, et loin de la barbarie.
Enfin, dans l'épisode de la mort des fils d'Aharon , il est expréssément fait allusion à une faute qui serait de l'ordre de l'idolatrie, puisque les fils d'Aharon se sont munis de « feu étranger » (« esh zara ») qu'ils ont voulu porter à l'autel d'assignation, et qu'ils ont été foudroyés sur place pour cette gravaissime erreur. Un commentaire de Rashi souligne que ce feu est étranger dès lors qu'il n'est pas parmi les éléments du culte commandés. Tout ajout, toute initiative humaine constitue un risque d'idolatrie. Tout se passe comme si la tendance naturelle de l'homme, sa formation intellectuelle, par la société humaine, le poussait à faire cette erreur d'idolatrie, un peu comme Avraham, à qui Dieu commande d'élever son fils (laalot) et qui comprend qu'il s'agit de faire un sacrifice complètement brûlé, (ola).



2. Le point de vue de Maïmonide sur l'idolatrie, « avodat kohravim » selon ses termes


C'est dans cette logique que se situe le texte du Rambam Yesodei Hatorah, dans lequel Maïmonide étudie ce qui constitue des formes d'idolatrie, qui sont, selon lui punissable de la peine de mort « min hashamaïm », ce que l'on peut entendre de deux façons, littéralement, selon une peine de mort « décrétée par Dieu », et traditionellement, selon une peine de mort « dont les termes de la condamnation sont directement issus de la Torah. »
Dans le « perek teth » de ce traité, Maïmonide décrit ainsi les fondements, les principes mêmes de la Torah (ce qui est le sens littéral du titre Yesodei Hatorah). Il est strictement interdit de retrancher des commandements au texte de la Loi. Ainsi, celui qui procèderait à un sacrifice sur le Mont du Carmel au lieu de procéder à ce sacrifice à Jérusalem, si tel est le commandement divin, commettrait une faute irréparable, qui, en niant l'ordre divin, mérite ainsi une peine capitale « min hashamaïm ». Tous ceux qui prétendent enlever ainsi au texte de la Loi des commandements sont pour Maïmonide des faux prophètes, à qui était réservé une mort par étranglement, puisqu'ils avaient fauté par leurs paroles et détruit la parole divine. A fortiori, nous dit-il, si ce faux prophète est originellement un « oved khoravim », soit un homme pratiquant le culte des étoiles, un idolâtre. Maïmonide considère également le cas de figure de plusieurs sages qui énonceraient la levée d'une interdiction biblique pour des raisons de survie. Le cas est plus problématique, et il convient de toute façon qu'une limite temporelle soit fixée au préalable à cet acte grave. Car celui qui est connu et célèbre commet une faute supplémentaire s'il se retranche de l'application d'un commandement quelquonque car ses actes sont potentiellement vus, suivis, imités, et équivalent alors à un blasphème du Nom de D., un « hriloul hashem », soit une désacralisation du nom ineffable. En effet, car accomplir un commandement est une glorification du Nom ineffable, car cet acte fait descendre de la spiritualité dans le monde de la matière. Ne pas accomplir un commandement revient donc à introduire de l'impureté dans le monde de la matière en lieu et temps où aurait dû se produire l'inverse. Le risque moindre que prennent alors de tels décisionnaires est donc celui de « kareth », littéralement l'exclusion, le retranchement, de l'âme du fautif des âmes de l'ensemble d'Israël.
Que dire enfin, nous dit Maïmonide, de celui qui aurait enfreint la loi en ne l'appliquant pas, en retranchant des mitsvot, mais contraint et forcé par plus fort que lui, comme par un roi, un gouvernant, un homme socialement plus puissant. Le voilà lui aussi descendu au niveau de ces « ovdei kohravim », ces serviteurs des étoiles, ces idolâtres.
Maïmonide explique qu'il faut le laisser vaquer. Son âme est descendu au plus « bas degré de la géhenne », nous dit-il, cet exil de l'âme que la littérature théologique a ensuite transformé en enfer. Lui qui a retranché des commandements est à présent retranché du monde à venir, mais du monde à venir hébraïque, le monde qui vient, qui n'est décidément pas post mortem.
Que faire de celui que le texte biblique condamne à mort. La loi mosaïque, dans la Bible même, nous dit Maïmonide dans ce chapitre (sixième chapitre) est claire : cet homme est condamné à mort. Et celui qui fait mine d'ignorer cette condamnation, qui est elle-même un commandement, est à son tour fautif de ne pas appliquer un commandement, et il se met alors au rang des idolatres.
Maîmonide a donc une analyse très stricte des principes de la Torah, mais d'une manière générale, il est beaucoup plus dur avec ceux de son peuple qui se seraient laissés entraîner par des idolâtres que pour les hommes qui appartiennent depuis leur naissance à une civilisation idolatre. Car les dix commandemants s'adressent avant tout aux Israëlites, et non aux autres nations. Les condamnations de Maîmonide ne concernent donc pas les autres nations. Il s'adresse donc le plus souvent aux Israëlites pour leur interdire d'écouter les idolâtres, pour leur interdire d'accepter d'obéir aux ordres des idolâtres quand ceux-ci, par exemple, souhaitent prendre pour femmes des femmes israëlites. Ce sont à tous ceux qui se dégradent ainsi jusqu'au degré de l'idolatrie que vont ses paroles les plus dures et ses condamnations à mort : ne sont-ils pas en effet soumis à la règle qu'ils ont reçu au Sinaï ? N'ont ils pas vécu la révélation qui justifie ainsi que l'homme qui profana le premier shabbat après cet évéènement, soit, dans le texte biblique, immédiatement exécuté ?

Tout retranchement ou apport personnel aux commandements du service divin constitue donc, selon Maïmonide, une forme d'idolatrie. Tout détournement partiel ou total de l'un des sept noms de la divinité, nous dit-il encore, est de l'idolatrie. De fait, peut-être cette phrase n'est-elle pas seulement le fruit d'une réflexion philosophique mais de la vision de l'histoire, car nombreuses sont les religions anciennes ayant emprunté l'un de ces noms, à commencer par le culte de Jupiter, dont la forme vocative en Latin correspond en effet à une des vocalisations possibles du tétragramme.
Principes fondateurs retranchés ou ajoutés selon Maïmonide, coûtumes déplacées, retranchées ou ajoutées selon le texte biblique, soit problème de l'ajustement entre la subjectivité de l'homme et la rigueur d'un service divin ne ressemblant à aucun autre service, lui, inventé par l'homme. L'idolatrie a donc pour principe fondateur d'interposer entre le commandement divin et l'homme une subjectivité humaine. Et c'est là où l'idolatrie se fond avec le domaine de la création d'images, ou de sculptures, par l'homme. Quoi de plus subjectif en effet, de plus limitatif, que toute création humaine.


3. Les liens fondamentaux entre l'image et l'avoda zara/l'idolatrie

Nous comprenons mieux pourquoi la halaha la loi juive, précise ainsi que l'avoda zara consiste à placer n'importe quel intermédiaire entre l'homme et la divinité.

La notion d'intermédiaire, on le voit, élargit considérablement la définition de l'idolatrie. Certes, le principe de la statuaire, de l'icône, est une épitome de la faute de l'intermédiaire. Mais tout acte visant à placer un homme, un service divin secondaire, un modèle de société au dessus de la relation directe de l'homme et du divin participe au même principe de l'idolatrie. Il procède d'un sentiment fondateur de la supériorité de l'homme sur la divinité.
Je voudrais revenir un instant sur deux éléments importants de l'interdiction de faire une image, ou une statue de la divinité dans le texte biblique.
Il me paraît essentiel de constater que cette interdiction est si importante, et qu'elle est si intrinsèquement associée à l'idée de modification, de détournement des commandements divins, que le texte de Devarim qui reprend la première énonciation du texte de Shemot ne varie « pas d'un youd », pour ne pas dire d'un iota, la première version : il s'agit bien d'entendre ce commandement, et dans son fond, et dans sa forme, et donc de ne pas risquer de le détourner lui aussi.
D'autre part, et c'est là un point important, le mot image, dans ce commandement, ne correspond pas au mot « image » utilisé dans le texte concernant la création de l'homme, où il est dit que « Dieu créa l'homme à son image ». Dans ce contexte de la Genèse, c'est le terme de « Bétsalmo » qui lui est préféré. L'homme a donc été crée semblable à l'ombre/ la forme de l'ombre de Dieu. Le comble de l'idolâtrie consisterait donc à tenter de reproduire quelque chose de ce divin en l'homme dans les créations artistiques humaines. Sans doute est-ce pour cela que la photographie, qui emprunte quelque peu cette tentative avec le metsalem, le photographe, est interdite par les plus orthodoxes



III. Iconoclasme et tolérance


Qu'en est-il donc de l'acte héroïque d'Abraham détruisant les statues/idôles de son père ? Doit-on suivre la rigueur maïmonidienne, et détruire toutes les idoles, toutes les statues, toutes les images ?
Si elles se trouvent dans un lieu de culte juif, sans aucun doute, toute image étant strictement interdite.
La tolérance du judaïsme vis-à-vis des coûtumes des autres religions tient donc en partie du fait que ces commandements, d'après le texte même de la Torah, concernait le peuple d'Israël, qui reçut ces commandements au Sinaï.
Pour les autres religions, qui, selon ce texte, n'étaient pas concernées pas les dix commandements, force était donc de tolérer leur usage des statues sous peine d'être en contradiction logique avec son propre texte.
Mais d'autre part, l'idolatrie n'étant pas une forme souhaitable d'expression spirituelle, dans la mesure où les règles d'une société qui en découlaient pouvaient créer une société cruelle, comme celle de Sodome et Gomohre, les commentateurs se sont interrogés sur leurs droits ou leurs devoirs face à l'idolatrie et à l'iconoclasme.
Si Maïmonide, dans le Michnei Torah, a de multiples commentaires de la guémara assimilant le christianisme à une forme d'idolatrie pour son usage des statues , et pour son introduction d'un intermédiaire entre l'homme et le divin, il ne prône aucune action, aucune destruction de statue.
Son élève, le Rav Meïri, n'est pas de l'avis de son maître. Pour lui, le christianisme n'a pas la dimension barbare des idolatries, et il faut le considérer comme un projet de société, qui va vers un mieux-être de l'individu. Ce projet est à ce titre respectable et ne doit en aucun cas être assimilé à l'idolatrie.
A notre époque, le Rav Kook a lui aussi prôné la position du Meiri, en s'opposant clairement au Rambam.
Il semblerait que sur ce point, la tolérance ait été un choix logique et habituel des communautés juives dans le monde. Les statues de Bouddha en Afghanistan n'ont jamais craint les foudres des communautés proches des déserts afghans, et nul n'a jamais oui dire qu'une seule religion ait eu ses statues détruites par une communauté juive de par le monde :le bouddhisme, par exemple, dans sa forme la plus adoratrice de bouddha, est une idolatrie et ses statues des idoles, qui auraient pu subir les affres d'un diktat religieux.


Ainsi le rigorisme de Maïmonide s'est en effet bien appliqué, concernant l'iconoclasme, mais vis-à-vis de Juifs eux-mêmes lorsqu'ils pouvaient être tentés de créer des images, et non vis-à-vis des autres religions, même lorsque tous ne s'accordaient pas pour dire si elles étaient, ou non, idolâtres.



alliancefr

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Très bonne explication, très utile. Merci.

Anonyme a dit…

Une question, s'il vous plaît. Est-ce que les chrétiens en général, les catholiques en particulier, sont considérés comme pratiquant "Avodah zara", ou plutôt comme des bné Noah ?
Je suis catholique, pas d'origine juive. Mais c'est une question qui m'intéresse. Peut-être y a-t-il plusieurs points de vue ? Merci beaucoup de la réponse. Vous avez un très bon site. Nathalie.

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