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AVERTISSEMENT

Amis lecteurs
Je ne fais ce Blog que pour vous faire decouvrir les tresors du Judaisme
Aussi malgre le soin que j'apporte pour mettre le nom de l'auteur et la reference des illustrations sur tous ces textes , il se pourrait que ce soit insuffisant
Je prie donc les auteurs de me le faire savoir et le cas echeant j'enleverais immediatement tous leurs textes
Mon but etant de les faire connaitre uniquement pour la gloire de leurs Auteurs

Paracha



La parasha (héb. פרשה, « exposé, » rendu en français par péricope, plur.: parashiot ou parashiyyot) est l'unité traditionnelle de division du texte de la Bible hébraïque selon la seule version admise dans le judaïsme, à savoir le texte massorétique. La division du texte en parashiot est indépendante de la numérotation des chapitres et des versets, qui ne font pas partie de la tradition des Massorètes.
 Les parashiot ne comportent pas non plus de numérotation. Cette division est la seule autorisée pour les rouleaux de la Torah. Néanmoins, les éditions juives imprimées du Pentateuque et de la Bible hébraïque possèdent les deux notations.
Au retour de la captivité à Babylone, la Torah fut divisée en 54 sections hebdomadaires, également appelées sidrot (sing.: sidra), lesquelles comportent au total 669 sous-sections. Ces sections sont désignées par divers types d'espacement entre elles dans les rouleaux de Torah, ainsi que dans les rouleaux des Nevi'im ou des Ketouvim (en particulier les meguilot), et dans les codex massorétiques, mais certaines se distinguent par leur titre comme la Parashat Zakhor, la Parashat Kriyat Hayam, etc.
Une division du texte en parashiot qui serait incorrecte, que ce soit en indiquant une parasha à un endroit inapproprié ou par l'emploi d'une technique d'espacement inappropriée, rend le Sefer Torah halakhiquement impropre à la lecture selon Moïse Maïmonide.
La division en parashiot trouvée de nos jours dans les rouleaux de Torah des communautés juives ashkénazes et sépharades est basée sur la décision de Maïmonide. Lui-même se base sur le Codex d'Alep.


Dans la majorité des cas de figure, une nouvelle parasha commence à l'endroit où une nouvelle unité de narration ou de pensée est clairement indiquée dans le texte biblique. Chaque article du Décalogue, des Codes de l'Alliance ou de la Sainteté sont séparés par une parasha.
Cependant, toute tentative de vérifier systématiquement de telles divisions topiques implique un degré de subjectivité de la part du lecteur. Cet élément subjectif peut expliquer les différences entre les codes massorétiques quant aux détails sur la division en sections, ou pourquoi des versets semblant introduire un nouveau sujets ne sont pas l'objet d'une section séparée, ou encore pourquoi celle-ci apparaît au sein d'un récit apparemment continu.
Dans certains de ces cas cependant, la division en parashiyot est utilisée afin de mettre en exergue un verset particulier, par création d'une pause textuelle avant, après ou avant et après la lecture de ce verset.

wikipedia

Le nom et numéro de la section de la Torah lue chaque semaine est dite couramment "la paracha de la semaine" et on lit ainsi actuellement toute la Torah sur une année. Auparavant, on la lisait sur 3 ans
Mais, en fait, cette section hebdomadaire est la "sidra" tandis que la paracha signifie "affaire, sujet" et elle désigne chaque sujet différent comportant quelques lignes ou versets dans la Torah. Il y a, par exemple, 30 sujets ou parachotes ou parachiyotes (pluriel deparacha) dans la seule section ou sidra Bémidbar. Il serait plus simple de dire la sidra mais l'usage du mot a dévié (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué!).
Quand chaque sujet continue sur la même ligne avec le sujet suivant on parle de paracha fermée; quand on passe à la ligne pour commencer la paracha suivante, on parle de paracha ouverte car il reste un espace libre sur la fin de la ligne.
Le nombre de lignes dépend de la taille en hauteur du parchemin (klaf) choisi, de la largeur des colonnes et aussi de la taille de l'écriture de celui qui écrit, le sofér. Mais, souvent, le sofér se base sur un modèle type; celui-ci, classique et moyen, correspond à un séfér Torah de 245 colonnes comprenant 42 lignes par colonne.

modia

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